Rapport de la réunion auprès du Chef de Service BU, le 06 juin 2023 avec Remarque


1. Le compte-rendu de la réunion du 14 mars 2023 a été approuvé

2. Le rapport quant à la qualité/sécurité sera envoyé ultérieurement aux délégués du personnel

3. a) La nouvelle aire de parking et de rechargement pour les futurs autobus électriques, en construction à ce stade, sera opérationnelle au plus tard vers le début 2024.

b) La mise en service de la navette autonome (phase d’essai) est prévue pour la mi-juin 2023 sur en parcours prédéfini, et cela du lundi au vendredi par des tours de service allant de 8 à 16 heures chacun.

Après cette phase d’essai la navette sera définitivement mise en service à Esch-Belval à partir du 20 septembre 2023.

Points portés à l’ordre du jour de la réunion par le SYPROLUX 26/23

Concernant le point 5/23 à l’ordre du jour de la réunion auprès du Chef de Service BU du 14.03.2023, le délégué du personnel désire savoir, si le service COM a entre-temps été contacté?

Selon les dires du Chef de la Division Administration BU/QS un projet correspondant est en cours de réalisation resp. a déjà été lancé par le service

27/23

Problèmes avec le tour de service 1001 (course hlp de Luxembourg à Ettelbrück)

Vu que le bus n’est souvent pas préparé ces derniers temps comme promis dans le passé, le délégué du personnel propose d’introduire une séance nuit, afin d’éviter des retards inutiles ou des départs prématurés (c.à.d avant 03:00 heures).

Réponse du Chef du Mouvement:

Il n’y aura PAS de tour de nuit! D’autre part, il a été rappelé et ordonné aux agents du Poste de Commande de veiller à ce que le bus pour le tour en question soit contrôlé, préparé et garé à la première place dans le hall 2 par l’agent du groupe secours rail, afin que le conducteur concerné ne perde plus de temps lors ou immédiatement après de sa prise de service. Cette consigne sera également mentionnée sur la feuille du tour de service correspondant.

28/23

Le délégué du personnel constate que dans de nombreux tours traités manuellement par les agents du CEB, les réserves de temps planifiées à l’origine sont rayées. Ceci n’est pas un gain de qualité pour le client et provoque des situations de stress inutiles pour le chauffeur.

Réponse du Chef du Mouvement :

À sa connaissance, cela n’arrive que dans des cas tout à fait exceptionnels. Cette explication est très étrange, car elle ne constitue ni une explication adéquate, ni une solution au véritable problème, car même dans un cas «exceptionnel», la suppression des temps de réserve entre 2 courses aux heures de pointe entraîne inévitablement la suppression d’au moins une course. Ce n’est certainement pas en donnant un autre nom au problème que l’on trouvera des solutions. Mais même à la demande du délégué du personnel du SYPROLUX de se faire montrer / proposer une solution, le chef du mouvement n’a pas jugé nécessaire de prendre note de cette demande dûment justifiée. Il a tout simplement ignoré les propos du délégué du personnel en séance.

29/23

Le délégué du personnel désire être informé sur le motif empêchant la transposition de la décision de la Délégation Centrale restreinte du 05 décembre 2022 concernant la restitution des «S» attribués à tort et ceci malgré la confirmation de la décision en question dans la séance de la Délégation Centrale du 24 février 2023.

Réponse du Chef du Mouvement :

Le Chef du Mouvement a répondu fermement qu’il n’avait pas connaissance des «allégations» mentionnées en question et qu’il n’agirait pas tant qu’il n’aurait pas reçu une instruction claire de la part du Service RH. Eh bien, il semble très étrange au délégué du personnel du SYPROLUX qu’un agent CFL doive être personnellement invité et prié de se conformer à un ordre général et des dispositions statutaires existants. Quoi qu’il en soit, nous allons certainement demander au directeur RH d’envoyer une instruction correspondante au Chef du Mouvement.

30/23

Le délégué du personnel demande de trouver d’urgence une solution avec le Service EI pour éviter que des bus d’entreprises privées bloquent le quai 2 à la gare routière d’Ettelbrück durant leur pause. (Sachant qu’il y a une aire de pause entre Ettelbrück et Ingeldorf qui a été spécialement mise en place à cet effet). Cette situation intenable rend l’embarquement resp le débarquement des clients impossible pour certaines courses. De plus, nos collègues risquent une amende, car il est interdit de monter ou de descendre d’un bus en deuxième file.

a) Le conducteur doit toujours contacter la «Leetstell» au Kirchberg et faire le tour jusqu’à ce qu’une place soit libre (sic).

b) Un coach est envoyé sur place pendant une semaine pour contacter immédiatement l’entreprise du bus qui stationne sur le quai comme mentionné ci-dessus, afin qu’elle demande au conducteur concerné de faire sa pause dans/sur les aires de repos prévues à cet effet.

Il ne faut en aucun cas s’adresser personnellement à un conducteur afin d’éviter d’éventuels conflits. Petite question en passant : à quoi servent les agents de surveillance auprès des CFL... rapidement?

31/23

Le délégué du personnel demande si un successeur a déjà été nommé afin de procéder au remplacement de l’agent Jeannot Minden?

Le poste n’est pas réattribué, car les dirigeants sont convaincus que le travail de l’agent susmentionné est réparti sur l’ensemble du personnel de l’atelier et que cela fonctionne bien. Ici aussi, cette opinion est surprenante, car le délégué du personnel de l’atelier de l’OGB-L-Landesverband ne partage pas du tout cette opinion et ne peut pas la comprendre. Il a également expliqué de manière très plausible que le travail «sur l’autobus» est prolongé/retardé lorsqu’un mécanicien est chargé, p. ex., de mettre les conteneurs à ordures dans la rue avec le chariot élévateur avant le jour du ramassage des ordures. Alors, ici également une affaire à suivre

Les délégués du SYPROLUX, Daniel SCHILDGEN, Marc BECKER

NICHT MIT UNS im BU

Nun denn, ich stelle fest, dass der Neujahrswunsch, den ich mit EF-Direktor, Marc Hoffmann teilte, nämlich im Jahr 2023 nicht dauernd müssen über den Service BU zu diskutieren, sich nicht erfüllt hat. Das ist traurig! Denn die Punkte um die es sich dreht, eigentlich mit der Sitzung vom 05. Dezember 2022, an der die beiden Gewerkschaftspräsidenten, der Präsident der Zentraldelegation, die Personalvertreter, die Direktoren RH und EF, sowie ein Teil der Obrigkeit des Service RH teilgenommen haben, behandelt und mit klaren Entscheidungen gelöst wurden.

Neujahrswünsche haben sich nicht erfüllt

Ein weiterer Wunsch war es, dass der Sozialdialog und der Umgangston sich bessern würde. In all den Jahren hatten wir schon einige Konflikte im BU zu lösen. Oft waren wir nicht auf einer Wellenlänge, doch durch gegenseitigen Respekt und gemeinsamen Meinungsaustausch ist es uns noch immer gelungen eine Lösung, im Interesse der Belegschaft, des Betriebes und, nicht zuletzt, des Kunden zu erarbeiten.

Ich stelle fest, dass weder unser Personalvertreter, noch die Kollegen des OGB-L/Landesverband, wenn es um die aufgedeckten Ungereimtheiten und Unstimmigkeiten in Bezug auf die “Roulements”, die Übergänge zwischen den Schichten oder nach einem Urlaub und das Wiedererstatten nicht beantragter Feiertage “S”geht, wenig bis gar kein Gehör finden bei der BU-Obrigkeit.

Anfangs konnte man es eventuell mit Humor nehmen und sich sagen, okay, dann spielen wir halt eine Runde: und täglich grüßt das Murmeltier! Doch mittlerweile sind wir am Siedepunkt angelangt.

Wer belügt wen?

Nachdem in der Sitzung im Dezember der BU-Dienstchef unseren Personalvertreter als Lügner hingestellt hatte, weil er selbst sich angeblich nicht mehr an Ab-

machungen oder Gesprächsverläufe erinnern konnte, sind wir noch ziemlich gelassen geblieben. Angeblich gibt es ja dieses Phänomen der spontanen Amnesie auch bei Gerichtsprozessen!

Die Frage ist, wenn der RH-Direktor beim BU-Dienstchef nach hakt, ob vereinbarte Entscheidungen ausgeführt wurden, und dies bejaht wurde, wer belügt denn wen?

Stopp der Erniedrigung und Behinderung!

Dass aber unsere Personalvertreter, welche nur auf bestehende statutarische Regeln verweisen, auf die Umsetzung von Entscheidungen drängen, die längst getroffen wurden, für eine gerechte Arbeitsaufteilung stehen und für Transparenz im Betrieb sorgen wollen, ständig Provokationen und Erniedrigungen über sich ergehen lassen müssen, so müssen diese augenblicklich aufhören. Das Gleiche gilt ebenfalls für das Vorenthalten von Informationen den Personalvertretern gegenüber und die Behinderung bei der Ausübung ihrer Pflichten, wie z.B. das Einsehen von “Roulements” zu jedem Moment.

Refus de service?

Und dann der lächerliche, Trick mit der schriftlichen Anordnung, gekoppelt an eine weitere Amnesie, dieses Mal beim Chef de Mouvement: ein Gedicht an Egozentrik! Dass ein CFL-Agent auf eine schriftliche “Einladung” wartet, um getroffene und klare Entscheidungen umzusetzen, welche im Beisein von zwei Direktoren in einer gemeinsamen Sitzung getroffen wurden, na ja! Man hat schon für weit weniger einem auto-normalen Eisenbahner einen “refus de service” auf gebrummt.

Auf jeden Fall ist das letzte Wort in diesem Dossier noch nicht gesprochen

In Folge der Sitzung beim Dienstchef am 06.06.2023, wurden am 07.06.2023 der Generaldirektor, Marc Wengler, die Direktoren Marc Hoffmann und Yves Baden, der DC-Präsident Patrick Vansteenkiste und der Präsident des OGB-L/Landesverband, telefonisch bzw/und über Mail über die Geschehnisse informiert. Die Kollegen des Landesverband haben indes eine Unterredung beim EF-Direktor am 13. Juni 2023.

Anlässlich der Vorbereitungssitzung der Zentraldelegation (DC-préparatoire) am 07. Juni 2023 war man sich einig, dass man bereit sei alle Mittel, welche einem Gewerkschafter oder/und einem Verwaltungsratsmitglied der CFL, in die Hand zu nehmen, um die Lage im BU aufzugleisen.

Mylène Bianchy, SYPROLUX-Präsidentin